@Don Lo: j’ai été un peu dure avec vous, j’en conviens et m’en excuse; sans doute ai-je mal lu ? j’essaierai d’être moins sanguine à l’avenir. En fait je n’attends pas qu’on me remonte le moral, ni qu’on m’incite à écrire plutôt que de ruminer: je le fais chaque jour, écrire, encore et toujours, et cela malgré les coups bas de certains. Je crois qu’il y a des gens qui ont du bol, qui tombent assez vite sur un éditeur honnête, (apparemment c’est votre cas et j’en suis heureuse pour vous) et il y a les auteurs qui comme moi, passent plusieurs fois tout près de la publication: un coup c’est parce que les nouvelles, ça ne se vend pas , la fois d’après, parce que l’éditeur ne sait pas ce qu’il veut et qu’au bout de trois mois de jeu de chat et de la souris, la souris prend la fuite; au bout de la troisième fois, on se demande si on n’a pas quelque part un peu la poisse. NLR l’explique très bien dans ses comms sur mon post précédent. Je songe sérieusement à l’auto édition mais j’attends encore une réponse (sur un plan tout à fait raisonnable et accessible, contrairement aux deux grosses boîtes qui ne publient que très rarement des primo-romanciers), avant de me lancer. Je me satisferai tout à fait de vendre quelques dizaines d’ex d’un livre joliment imprimé.
Ecrire sur un roman en s’inspirant de Liliane la milliardaire ? J’y songe, mais c’est beaucoup trop tôt, il faut attendre au moins deux ou trois ans. Que tout cela se décante. là on commence à peine à voir la partie émergée de l’iceberg.
@AK.
Je suis comme vous: ulcérée par certains faits; c’est pourquoi je préfère en rire, voire cela comme de la fiction. Si on se met en colère à chaque turpitude de notre belle et mourante république bananière, on se ruine la santé.